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Projet de parc éolien offshore en baie de Saint Brieuc

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bien qu'arrivé à un stade avancé, le projet de parc éolien offshore en baie de Saint-Brieuc ne peut-il pas être remis en cause. Déjà en 2014, le "Collectif des Associations Environnementales des Côtes de Penthièvre et d'Emeraude" (CAPE), dont l'AVA était membre s'était élevé contre ce projet, suggérant une solution alternative simple au parc éolien marin, permettant d'éviter un investissement de plus de 2 milliard d'Euros, en économisant l'énergie en heure de pointe (voir l'argumentaire).

Cette solution est reprise en 2019 par certains analystes qui suggèrent une transition sociale, politique, économique et culturelle menant à des sociétés sobres en énergie et très peu polluantes (Transition énergétique : le mirage de la croissance verte)

 

L'association "Gardez les Caps" (association créée en 2011 pour la défense de l'environnement naturel, marin, et littoral des baies de Saint Brieuc et de Saint Malo) a relayé le collectif en organisant plusieurs actions :

- Conférence au Cinéland de Saint-Brieuc le 30 janvier 2014 (voir l'argumentaire)
- Réunion publique d'information à la salle des fêtes de Plévenon, le 4 août 2014 : NON à l’industrialisation de la Baie de Saint-Brieuc
- Réunion publique d'information/débat, salle du Gémadeuc à Pléneuf-Val-André, le 11 août 2014. 

- Communiqué de presse du 12 juin 2015, dénonçant le grand bluff des photomontages :

Téléchargez le diaporama de la démonstation scientifique.

 

 

 

 

Voir également la vidéo Les trésors de la Baie de Saint Brieuc en PERIL, réalisée par Jean-Pierre Martin, trésorier de l'association "Erquy Environnement", et Yann Le Meur.

 

L’enquête publique s'est déroulée du jeudi 4 août 2016 à 9 heures au jeudi 29 septembre 2016.

L'association "Gardez les Caps" avait organisé une réunion d'information au Casino du Val-André, le 11 août 2016 à 17h : Lire la version en ligne et le communiqué de presse. "Pourquoi dire non".

De son côté, le collectif CAPE avait diffusé un document "Nos inquiétudes sur les conséquences du projet éolien dans la baie de Saint-Brieuc sont hélas confirmées".

En outre, les associations constituant le collectif, représentant environ 3350 adhérents, se sont rassemblées pour déposer auprès de la commission d'enquête une contribution affirmant leur ferme opposition à la création et à l'exploitation du champ éolien dit "de la Baie de Saint-Brieuc". Voir les liens permettant de prendre connaissance des sources relatives aux divers points évoqués.

Enfin, alors que l'enquête touchait à  sa fin, l'association "Gardez les Caps" a procédé à  un sondage d'opinion auprès des habitants ; voir le résultat de ce sondage "Perception de l'enquête par les riverains

A l'issue de l'enquête publique, la commission d'enquête a déposé son rapport et ses conclusions le 5 janvier 2017 ; le 18 avril 2017, le préfet des Côtes d'Armor a approuvé la convention de concession d'utilisation du domaine public maritime à la Société Ailes Marines, pour une durée de 40 ans. (voir le communiqué de l'Association "Gardez les Caps": La Baie de Saint-Brieuc dit NON).

Entre temps, les associations littorales du Penthièvre et de l'Emeraude ont décidé de créer l’Union du Penthièvre et de l’Emeraude pour l’Environnement et pour le Littoral (UPEEL). CAPE a été intégré à cette union et a cessé ses activité après sa création en juin 2017. 

 

L'UPEEL a choisi de se faire représenter par Maître Sébastien Collet* (Cabinet VIA AVOCATS à Rennes) afin de faire annuler l’arrêté du 18 avril 2017 par lequel le préfet des Côtes d’Armor a délivré à la société Ailes Marines une autorisation unique concernant la réalisation du parc éolien et de sa sous-station électrique en baie de St Brieuc.

Le sujet n'entrant pas précisément dans les compétences de l'AVA (qualité de la vie à Pléneuf-Val-André), celle-ci n’a pas apporté de contribution spécifiquement affectée à cette démarche juridique ; mais, par solidarité, elle a accepté de relayer auprès de ses adhérents un appel à un don exceptionnel de l’UPEEL.

Par note du 30-10-2019, l'UPEEL fait le point de la situation

Alors que RTE a signé un contrat, avec Nexans, pour la fourniture et la pose des câbles qui relieront le parc d’Ailes Marines à la terre, câbles qui seront fabriqués en Norvège et en Belgique, les associations dénoncent les mensonges quant au développement d’une filière industrielle française.

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